Double sang [Fanfiction du film Superman Returns]

Etant donné que le texte s'est rallongé très vite, je ne vais pas tout lire d'une traite. J'ai juste lu le début.
Le lien entre le film et ta fanfiction est cohérent, bien joué, et tu poses rapidement les bases qui, pour le moment, me semblent intéressantes. Je ne sais pas comment tu développeras tout cela, mais si tu poursuis sur cette voie, le texte peut être très bon.
Par ailleurs, j'ai retrouvé l'ambiance de Superman, les personnages sont bien maîtrisés. J'avais peur de ça avant d'entamer le texte, car c'est souvent ce qui pêche avec les fanfictions, mais tu t'es bien approprié cet univers. Je lirai rapidement la suite en espérant qu'elle soit aussi bonne que l'introduction le laisse penser !

« En haut. Tout en haut dans le ciel. »
Cette phrase avait tenu Richard éveillé toute la nuit. Mais au matin, c’était une toute autre épreuve qu’il dut affronter. Jason avait disparu.


Voilà des mois qu’il savait voler.
Voilà des années qu’il entendait tout. Ce que ses parents disaient le soir, le ronflement discret du chien du voisin, dans sa niche, les cris d’une femme agressée à des kilomètres de son lit… Aucun détail de toutes les basses de l’humanité ne lui échappait.

Plus encore, il avait n quelque chose d’unique, il le savait. Ce quelque chose qu’aucun humain ne possédait réellement, qu’aucun kryptonien non plus, même à l’époque de Zod. Etait-ce cela qui avait fait de lui ce qu’il était ? Etait-il un monstre ?

Mais il n’était plus temps de penser à ces considérations. Il arrivait aux abords de Nouvelle Krypton.


- Alors, Superman… Voilà huit jours que tu es ici, et je dois t’avouer que je me suis trompé.

Clark était enchaîné à des anneaux fixés dans un mur de pierre kryptonnienne. Il était assis, faible.Il n’avait pas été torturé, comme il s’était attendu à l’être quelques jours plus tôt. Même pas violenté, sauf en de rares moments de jubilation malsaine par Métallo. Pourtant, son dos était à vif. Chaque centimètre carré de sa peau en contact avec la pierre était une source de souffrance chaque jour croissante. Lex l’avait regardé se faire dénuder le torse par l’homme robot. Au début, ce contact l’avait fait hurler, brièvement. Puis le héros de Métropolis s’était muré dans un silence presque complet. Mais Lex, lui, appréciait toujours faire de petites visites chaque jour, histoire de l’informer des nouvelles de la Terre. Ou simplement le regarder, comme un tueur observerait un humain en cage, sans pouvoir l’atteindre.

Pourtant il était à sa portée. Depuis huit jours, Clark était sans aucune défense. Mais il restait Superman, et il était traité comme tel, ou presque.

Cette fois, Lex Luthor était d’humeur bavarde.
- Oui, je me suis fourvoyé il y a longtemps sur un point d’importance. (Il arpentait le salon richement meublé dans lequel était agrafé son « trophée », enchaînant les vas-et-viens devant Clark en faisant mine de réfléchir ou le prenant à parti dans une immobilité presque totale, comme maintenant : ) En effet, poursuivit-il, Je savais déjà, à l’époque, qu’une faible masse de ta terre natale suffisait à annihiler la source de tes pouvoirs et aussi que cela t’affaiblissait grandement, au point que tu pourrais te noyer dans une piscine comme un vulgaire bambin sans intérêt. (Lex reprit sa marche avant de continuer : ) Vu l’état dans lequel cela te mettait, j’en avais déduis que cette faiblesse ne pouvait qu’aller croissant. A chaque minute qui passe, à chaque heure qui défile, ton métabolisme se détériorerait et tu finirais tout simplement par mourir, comme un animal sans nourriture, ou comme ces enfants, en Afrique. … Et bien non : Tu es toujours là, conclut-il en se tenant face à lui, les mains ouvertes et le sourire aux lèvres. Et pour mon plus grand bonheur, d’ailleurs…
Oui, il semble que la kryptonnite ne te tue pas. Heureusement, elle ne te rend pas plus fort non plus. Tu… as saisi le jeu de mots, monsieur muscles ? Ah, je me sens d’humeur bavarde. Tu vois, fit-il sur le ton de la confidence en approchant son visage à quelques centimètres de Clark, avant même que tu ne te doutes de ma présence dans ta vie, j’avais déjà planifié comment tu arriverais sur cette planète, et dans quel état, et qui t’y emmènerais.

Et en se tapotant la tempe avec son index, fixant un Clark exténué par la douleur sourde et diffuse provoqué par la pierre, Lex ajouté :
- L’esprit… triomphe du muscle, Superman.

Puis il se leva et sortit de la pièce en mimant un pas de danse joyeux.
- A ce soir ! lança-t-il comme s’il s’adressait à un vieil ami.

A nouveau, il était seul.
Clark laissa retomber sa tête et son menton reposa sur son torse. Dans sa position actuelle, une partie de son dos touchait le mur à base de kryptonnite. Cette zone était comme enflammée. Mais à quoi bon se redresser ?

Sur un point, Lex n’avait pas eu tort. Contrairement à tout ce qu’il avait pensé, sa terre natale ne pouvait pas le détruire. Certes, elle annihilait la quasi-totalité de ses pouvoirs, elle le brûlait comme s’il touchait un froid intense sans la protection de ses pouvoirs et elle lui imposait ue faiblesse physique ainsi que des maux de tête. Mais cela s’arrêtait là.

Jamais avant il n’avait été exposé aussi longtemps et aussi directement à une telle masse de kryptonnite. Jamais, donc, il n’aurait pu se douter qu’on s’habitue à tout. Même à la douleur. Même à la faiblesse. En réalité, il n’était pas fragile comme il le pensait. Il se rapprochait simplement de la puissance d’un kryptonnien normal, baigné dans un soleil rouge. Et la faiblesse qu’il éprouvait en temps normal venait du fait qu’il n’était pas dépourvu de ses pouvoirs.

C’était comme la différence entre un humain naturellement faible et un humain naturellement puissant mais malade et mal nourri pendant plusieurs jours. Son potentiel était toujours là, bien vivant. Il avait toujours quelque part en lui le potentiel de sauter des immeubles, de plier du métal, d’arrêter une balle… Mais ce qui était naturel sur Terre nécessitait ici un terrible effort. A vraidire, plus qu’il n’en pouvait fournir. Mais peut-être, juste un instant, encore une fois, comme la veille et l’avant-veille encore, pourrait-il… juste encore une fois…

Clark regarda la chaine enserrant sa main droite. Il fixa, vissa son regard sur un point précis du métal. Il essaya de sonder, de comprendre, de plonger toute sa compréhension dans cette matière inerte qui lui poser tant de problème, ce barrage quasi infranchissable. Il concentra toute son attention, toute sa conscience, tous ses efforts…

Petit à petit, une douleur nouvelle afflua. C’était la migraine caractéristique de ce moment précis. Ce qu’il tentait de faire lui coûtait beaucoup et il le payait à chaque fois au prix d’une terrible douleur qui s’ajoutait encore aux autres. Qu’il réussisse ou non.

Mais il continua, focalisa sa conscience sur ce point, sentit se déverrouiller en lui un loquet normalement inaccessible. Plus rien n’existait autour de lui. Si Lex Luthor ou Métallo, ses seuls geôliers jusqu’à ce jour, pénétraient dans le salon, il en les remarquerait même pas et ruinerait totalement ce qu’il tentait de faire depuis maintenant trois jours,…

La chaleur afflue enfin et un rayon rougeoyant quitte son iris pour sectionner la seconde menotte.

… s’échapper d’ici.

A SUIVRE...

***Pendant tout ce temps, jugé totalement impotent par Lex, il avait été aidé dans tous ses déplacements. Chaque fois qu’il devait se rendre dans une autre salle pour son hygiène ou lorsqu’il devait se nourrir. Bien sûr au début, il en avait réellement eu besoin. Mais les jours passant, il avait pris l’habitude de cette faiblesse, mais surtout de la force qu’il lui restait. Il était capable de se nourrir. Même de marcher. Mais cette information était trop vitale, dans sa situation, pour la dévoiler. Et aujourd’hui tout ce cinéma payait.

***Il fallait maintenant s’évader d’ici. La première chose à faire était de troquer son costume de Superman, car Lex avait pris un grand plaisir à le lui laisser tout ce temps afin de mieux savourer sa victoire. Avançant jusqu’au bureau, il appuya sur l’interphone.

***- Dans mon bureau, immédiatement, exigea-t-il en plaçant une main en écran sur sa bouche.
***- Bien, monsieur Luthor, grésilla une voix.

***Aussi rapidement qu’il put, Clark se posta près de la porte et quelques instants après, lorsque pénétra dans la pièce, la referma. Clark ne devait pas laisser le temps à l’autre de réagir. Se concentrant sur sa force de frappe, il balança son poing vers l’homme qui commençait à se retourner vers lui. Lorsque les deux corps se touchèrent, Clark sentit son mal de tête redoubler. En contrepartie de cet effort, une puissance familière afflua en lui et son coup percuta le pauvre adversaire en plein sternum. Il fut projeté sur deux mètres et s’écroula sur le dos, K.O.

***- Désolé, monsieur, mais vous allez devoir me rendre service.


***- Bonjour, à qui ai-je l’honneur ?
***- … Bonjour, monsieur Luthor. C’est Léa. Que puis-je pour vous ?
***Le ton de son employeur était calme, bien trop calme. Dans ces humeurs-là, il valait toujours mieux jouer profil bas et être engageante.
***- Il se trouve que j’ai quelqu’un dans mon bureau avec le costume de Superman. Trouvez-vous cela étonnant ?
***- Et bien, fit la secrétaire décontenancée, non monsieur Luthor. Voilà plusieurs semaines qu’il est ici.
***- Celui-là flotte un peu dans son costume…
***- Je ne comprends pas, monsieur. Voulez-vous que nous commandions des repas plus copieux ?
***- Léa ?
***- Oui, monsieur Luthor ?
***- Est-ce que vous vous foutez de ma gueule ?

***Quelques minutes plus tard, Métallo se tenait devant Lex.
***- Où est-il ? demanda le surhomme.
***- Justement, personne ne l’a vu et il a troqué ses collants pour le costume plus sobre de ce monsieur.
***John Corben observa l’homme avachi, inconscient, en tenue de Superman. Son plexus était bombé, vers l’intérieur du corps.
***- Mort ?
***- Non, et c’est un miracle, dit-il pensivement en tâtant ses lèvres de son index.
***- Comment a-t-il fait ?
***- De la même manière qu’avec ses menottes : avec des super-pouvoirs.
***Ses doigts s’entrechoquaient à présent en miroir. La mine pensive, il sentait qu’il perdait le contrôle, qu’il avait été ridiculisé. L’esprit avait triomphé… mais le sien était plus grand ! Quand il s’adressa à son homme de main doté de kryptonite, sa voix était désincarnée, calme et lointaine comme aurait pu l’être celle de la mort.
***- Trouve-le-moi, Métallo. Trouve-le, fais-le souffrir, mate-le et ramène-le. Qu’il souffre à chacune de ses étapes. Puis rhabille-le.


***Une fois habillé normalement, il était facile de se déplacer dans les couloirs. Ce n’était pas un lieu sécurisé avec des gardes partout et des armes. Lex était trop raffiné pour cela. La présence d’une force brute pour le défendre en cas de coup dur était pour lui une insulte à son intellect. Et cela servait magnifiquement l’évasion de Clark. Bien sûr, il y avait quelques caméra placées à des endroits stratégiques, mais il suffisait de marcher avec un dossier inutile en main à côté d’une autre personne et le tour était joué. Toutes ses caméras n’étaient donc d’aucune utilité à L’homme qui se croyait le plus malin sur Terre.

***Clark sourit de sa remarque.
***« Mais nous ne sommes plus sur Terre, justement ! »

***Sa démarche n’était tout de même pas celle d’un homme totalement valide. Depuis trois semaines il avait peu marché, la Nouvelle Krypton diminuait toujours sa force, restreignait ses pouvoirs comme si on lui coupait l’accès à une source, et lorsqu’il y parvenait cela provoquait un mal de tête puissant et passager. Malgré tout ça, il était tout de même en train de s’évader. Superman était au-dessus des lois, il ne pouvait donc pas accuser Lex d’être hors la loi pour l’avoir kidnappé. En revanche, il reviendrait pour le mettre sous les barreaux car il avait créé ce Métallo, et organiser un réseau mafieux sur Métropolis.

***Sous l’œil d’une caméra, il glissait toujours, au hasard des couloirs.


***Je me trouve juste au-dessus des bu bâtiment dans lequel se trouve mon père. Ainsi que ce Luthor, que j’ai déjà repéré. Métallo aussi, avec son cœur en kryptonite. Quelque part sur la gauche, un couple fait l’amour. Lui ahane bruyamment pendant qu’elle étouffe ses gémissements. Comment rater ça quand on entend tout ? Deux pièces plus loin un homme fait des photocopies. Il pense à son enfant resté sur Terre et au coût de ses études. En cherchant plus profondément je vois que c’est surtout le coût des études qui accapare son attention, et non pas sa progéniture. Lex a un esprit tordu. Il pense que le monde est sien, qu’il est amené à le gouverner. Sa République, comme il l’appelle. Métallo a des velléités. Un jour il s’en prendra à Lex, son créateur. C’est donc son créateur…

***L’enfant à nouveau son attention son Lex, essayant tout de même d’éviter les bruits du couple. Il sait qu’il ne pourra faire confiance à Métallo que jusqu’à la disparition de Superman. Après cela, ce sera l’esprit contre le muscle, et les dispositions sont déjà prises. C’est incroyable de voir comme tout est déjà anticipé dans son esprit, à plusieurs niveaux de possibilités. Les hypothèses les plus farfelues sont réfléchies et pesées. Mais il en a oublié une. Non pas qu’il n’y ait jamais pensé, car il comptait réduire Jason au silence avant sa puberté. Malheureusement pour lui, e même Jason qui se tenait en ce moment même au-dessus des installations de Luthor, flottant dans l’espace, bénéficiait de pouvoirs incalculables.

***Si Zod et ses disciples bénéficiaient de tous les pouvoirs de Krypton, Clark, lui, ne es partageait pas tous. Non ps qu’il était plus faible, mais il avait grandi sur terre pendant des annes, sans rencontrer ses semblables. Zod était arrivé avec deux comparses et avait découvert des choses nouvelles, comme la télépathie entre kryptoniens et la télékinésie. Mais Jason, mi-kryptonien mi-terrien, était donc bien plus que cela. Télékinésiste, tout comme Clark même s’il ignorait ce pouvoir, il pouvait aussi parler en pensée aux êtres humains des deux races. Les esprits terriens étant plus faibles, il pouvait les manipuler à sa guise sans rencontrer trop de soucis. Mais plus la manipulation était importante, plus les incohérences devenaient flagrantes pour le cobaye et il brisait « l’enchantement », pour ainsi dire. Jason s’était donc la plupart du temps abstenu.

***Cette fois, il jeta son dévolu sur Lex et lui permis d’oublier proprement l’une de ses hypothèses : Jason ne pouvait pas être en ce moment sur Nouvelle Krypton.

***Cette manigance ne durerait qu’un temps, mais pour l’enfant, c’était un avantage de plus.
***Combien de fois avait-il du l’utiliser pour protéger son secret, pour éviter un meurtre ou un viol. Et combien de fois avait-il tout de même assisté à ces actes de barbarie sans pouvoir agir, car il était à l’école ou donnait la main à sa mère ? La vie avait un quelque chose de pourri, de gâté, comme les pommes qu’ils ne mangeaient jamais à la maison. Ca puait et en même temps c’était intriguant, et on se penchait dessus pour voir jusqu’où ça pouvait dépérir.

***Quand il était dans son lit, la nuit, c’était pareil. Il « observait » par l’esprit, par l’ouïe, ou bien en survolant la ville. Et il voyait tout, entendait tout, parfois même il ressentait car il lui suffisait de pénétrer un esprit pour sentir ses sensations. L’excitation du crime, il connaissait. Le vol, il l’avait vécu. L’amour, pareil. Pourtant il n’avait même pas quinze ans. Toujours, il savait. Sa maîtresse était lesbienne et aimait les films de guerre. Son camarade torturait les fourmis. Jessie mangeait ses crottes de nez. Et tous, partout, tout le monde, en tous lieux, c’était comme s’il les connaissait. Sa mère n’avait pas de secret pour lui, ses deux pères non plus. Pas étonnant qu’il devait toujours se contrôler, qu’il était calme. Pas étonnant qu’il avait l’air ailleurs, qu’il paraissait distant. Toujours il entendait, toujours il souffrait, aimait, toujours. Partout.

***Jason était immobile, ses yeux écarquillés fixant le vide comme si Nouvelle Krypton n’existait pas. Comme si elle n’avait jamais existé, ou ne représentait rien. Et après un temps qu’il n’aurait pu estimer, ses yeux retrouvèrent l’éclat de la conscience. Il se retrouvait à nouveau dans le présent.

***Cette vie était un calvaire. Mais pas seulement la sienne. Il en était venu à penser à plusieurs reprises que l'humanité se porterait bien mieux si elle était débaraser de tous les nuisibles qui la constituaient. Était-il un monstre ?


***Clark cherchait toujours. Il n’était pas « fort », néanmoins il mesurait un bon mètre quatre-vingt-treize et pesait ses cent kilogrammes. Cette masse de muscles lui avait déjà permis de se débarrasser d’une personne l’ayant reconnu à deux reprises. A chaque fois il avait remercié sa chance. Être « terrien » était vraiment difficile, quand on était superman.

***Mais surtout, il était perdu. Il ne pouvait pas voler. Un tel acte lui demanderait un effort impossible à réaliser. Pour quitter cette planète. Non, il avait besoin d’un vaisseau, d’une fusée, d’un avion à réaction, n’importe quoi qui vole et lui permette de quitter cet endroit.

***A force de chercher, mais aussi par la menace, il passa une énième porte et déboucha dans un immense hangar de décollage. Vide ou presque. Il n’y avait qu’une personne au milieu de la surface de décollage.

***- Salut Superman, fit Métallo tout sourire.

***Plus haut, une seconde personne observait les deux protagonistes de sa petite scène. Derrière sa verrière, une coupe de champagne à la main, quelques amuse-gueules à portée de l’autre, Lex Luthor se régalait du spectacle qui allait se dérouler devant ses yeux.

***Il avait été facile de deviner où Superman allait se rendre. Après tout, il n’y a que l’impotent qui cherche le pouvoir, et pour le kryptonien, le pouvoir se trouvait lui d’ici, tout simplement.

***Se penchant vers un micro qui répercuterait ses mots, il pressa un bouton ON et articula d’un air nonchalant tout en mastiquant une olive :
***- Commencez sans moi, j’arrive bientôt.

John Corben marcha vers Superman et serra les poings.